Aussi appelés Cyrodils, Cyrodiliques[1], et Cyrods impériaux[2], les éduqués et bien articulés Impériaux sont la population humaine native de la province civilisée et cosmopolite de Cyrodiil. Les Impériaux sont aussi reconnus pour leur discipline et l'entraînement de leurs milices, ainsi que leur respect de la loi.[3] Les Impériaux se sont révélés être des diplomates et marchands perspicaces, et ces traits, ainsi que leur remarquable talent et entraînement d'infanterie, leur ont permis de coloniser plusieurs autres territoires et de créer l'Empire cyrodilique.[4][5] Le pouvoir de leur hégémonie a varié en puissance au cours des Ères, et la plupart des historiens parlent de trois empires distincts, dont la fin de chacun marque une nouvelle époque dans l'Histoire tamrielique.
Histoire
La race impériale émergea des tribus nibenaises originelles, les Nèdes et Cyro-Nordiques de l'Ère méréthique.[1][6][7] Ils furent subjugués par une race de descendants d'Aldmer, les Ayléides, mais une rébellion menée par Sainte Alessia en 1E 242 fut suffisamment couronnée de succès pour pousser les Ayléides à l'extinction (bien qu'ils aient laissé plusieurs trésors derrière eux[8]).[1][6][9] L'Empire Alessien unît les Impériaux et mena des campagnes dans d'autres provinces, mais lorsque l'Ouest colovien s'en sépara, la guerre civile en Cyrodiil qui en résulta mit fin à ce premier Empire.[6]
La Vallée nibenaise orientale et les États coloviens occidentaux développèrent des cultures distinctes, mais ils s'unirent tout de même sous la bannière du Colovien Réman I pour repousser une invasion akaviroise en 1E 2703, créant le Second Empire.[1][6] Les Akavirois avaient détruit plusieurs terres humaines, et Réman craignait une invasion du côté de l'Archipel de l'Automne, il permit donc aux Akavirois restants d'habiter en Cyrodiil et de combattre pour lui contre les Elfes.[6] Rapidement, le Second Empire contrôlait toutes les provinces de Tamriel à l'exception de Morrowind.[6] Les événements entourant les tentatives de conquérir Morrowind menèrent à la fin de la dynastie Réman, et de la Première ère en 1E 2920; le potentat akavirois Versidue-Shaie prit contrôle de l'Empire suite à la mort des Réman et la désastreuse Guerre de Quatre-vingt ans.[10]
Les potentats akavirois régnèrent jusqu'en 2E 430, mais éventuellement, des assassinats et une direction qui laissait à désirer menèrent à l'effritement de l'Empire, puis à l'Interrègne: pendant quatre siècles, divers petits États partout en Tamriel entrèrent en conflit entre eux, surtout en Cyrodiil.[1][11] La province impériale fut réduite à une collection de chefs de guerre se battant pour un no man's land en stagnation culturelle.[1][12] Il fallut éventuellement un Nordique pour rassembler la province impériale: Tiber Septim fut nommé général des forces de Cuhlecain, un roi colovien. Il repoussa tous les ennemis de Cuhlecain qui lui firent face ainsi qu'à ses armées, réunissant rapidement Cyrodiil. Lorsque Cuhlecain fut assassiné en 2E 854, Tiber Septim prit le trône.[6] En quelques décennies, les provinces étaient à nouveau réunies sous son Troisième Empire, et celui qui était autrefois un étranger en Cyrodiil devint son symbole.[1]
Ironiquement, la plupart des empereurs de la Troisième ère furent soit nordiques ou brétons, et non impériaux. Suite aux cataclysmes de la Crise d'Oblivion, l'Empire sans dirigeant se mit à nouveau à s'effriter, mais un Impérial saisît l'opportunité: Titus Mede I, un roi colovien, prit contrôle de la Cité impériale avec moins d'un millier de soldats et se déclara le nouvel Empereur, quoiqu'on en sache peu sur cette dynastie.[13]
Culture
La caractéristique principale de la culture impériale est son cosmopolitisme.[1] Bien que certains individus fassent partie des racistes les plus arrogants en Tamriel[14][15][16], les Impériaux sont généralement très conciliants et sympathiques, faisant d'eux d'excellents diplomates et marchands.[1] Même les vampires impériaux conservent une certaine civilité.[17] Considérant la géographie de Cyrodiil et leurs schismes culturels, ceci n'est pas étonnant: les frontières de la province sont presque toutes partagées avec une autre province, et la division historique ainsi que l'unité constante des régions cyrodiliques font que les Impériaux sont habitués au maintien de l'ordre et à la négociation. Même s'il existe plusieurs régions, les deux les plus puissantes contrôlaient les plus petites qui les entouraient: les États coloviens de l'ouest et la Vallée du Nibenay de l'est.
Les premiers Impériaux de l'est de Cyrodiil croyaient fortement aux Doctrines Alessiennes, même après la chute de l'Empire, ce qui les opposait à plusieurs pratiques, notamment à l'agriculture.[6] Ils s'en remirent au mercantilisme et devinrent une société particulièrement riche produisant des vêtements colorés, menant des cérémonies élaborées et appréciant les tatouages et la philosophie.[6] À travers leur réseau de rivières, ils pouvaient exporter plusieurs biens, incluant des textiles, des tissus, du sucrelune, du riz et des armures.[6] Même si leur croyance était monothéiste, elle ciblait souvent la nature plurielle de certaines facettes de leur société, et divers cultes opérèrent ouvertement au cours des années, dédiés à plusieurs esprits animaux et dieux-héros, ainsi qu'au culte ancestral.[6][18][19] Les Coloviens, par contraste, avaient un style de vie plus austère et aventurier, en lien avec leurs ancêtres nordiques, et devenaient souvent des mercenaires et des pirates.[6][18] L'unification sous Réman I n'éradiqua pas ces différences, quoique, bien sûr, les Huit Divins étaient la croyance dominante partout dans la province à la fin de la Première ère.[1][6]
Le respect et l'admiration qu'avaient les Impériaux pour Tiber Septim n'est rien en comparaison à l'adoration qu'ils ont pour lui en tant que l'un des Neuf Divins, sous le nom de Talos, malgré les hérésies souvent adoptées à propos de lui.[20][21] Ses accomplissements les inspiraient à croire qu'ils pouvaient réussir n'importe quelle entreprise.[22] La fin de sa dynastie fut l'occasion d'un grand deuil, mais aussi d'une grande fierté, puisque son dernier descendant connu, Martin Septim, s'est sacrifié pour sauver Tamriel.[23] Les Impériaux ne savent que trop bien que les dynasties finissent toujours par monter puis s'effondrer.
Architecture
Plusieurs bâtiments impériaux furent construits avec du calcaire.[24] La cité nibenaise de Bruma est d'influence nordique, tandis que Cheydinhal est d'inspiration dunmeri.[25] Le style impérial urbain mélange le style architectural dunmeri de certaines parties du District Hlaalu et des banlieues de Vivec en Vvardenfell et domine les nouveaux villages Hlaalu et impériaux coloniaux. Les maisons, boutiques et maisons de commerce sont faites de bois et de pierre, avec des toits pointus, des angles droits et des plans plats, et extérieurs sans ornements.[26] Les égouts de la Cité impériale ont leur propre style architectural, la majorité de la plomberie ayléide ayant été remplacée par les architectes civiles impériaux au point de ne plus être considérée comme ayléide.[27] Le "style occidental impérial" est associé aux villages de l'ouest de l'Empire. Ce style est observé à des endroits tels que Pélagiad et Caldéra, et quelqu'un qui n'est pas familier avec ce style peut facilement le confondre avec celui d'Hauteroche.[28][29] Les Impériaux comme les Brétons ont influencé les styles architecturaux cosmopolites rougegardes.[30]
Vêtements, armure et armes
La phalène ancestrale est une phalène rare indigène à Cyrodiil[6] sacrée pour les Impériaux. Les Nibenais utilisent sa soie pour fabriquer un tissu qu'ils exportent ensuite à travers les provinces. Le chant et les hymnes vocaux des ancêtres sont récupérés lors d'une cérémonie spéciale de récolte de soie, ce qui en fait de la soie ancestrale. Dans le Nibenay, cette récolte de soie est une tradition sacrée datant des débuts de leur histoire. L'Ordre de la phalène ancestrale est celui qui récolte la soie et l'enchante.[6] Les châles de soie ancestrale, ou soies-ancêtres, contiendraient les souvenirs des défunts.[31] La soie ancestrale peut aussi servir dans la confection d'armure légère de haute qualité.[32]
L'armure d'écailles de triton des rivières impériale[UOL 1] est une création nibenaise considérée comme un héritage exotique en Morrowind.[UOL 2] Le Coloviens sont reconnus pour leur production d'une grande variété de vêtements en fourrure, tels que des chaussettes[33], capuchons[34], ou le fameux casque fourré colovien (aussi appelé l'attrape-flèches colovien).[UOL 3] Le gladius est une arme associée à la culture impériale.[35]
Les Tsaesci ont laissé leur trace sur la culture impériale, et plusieurs Impériaux disent être de descendance akaviroise. Les noms de famille akavirois sont rares et prisés, tandis que de légères caractéristiques faciales akaviroises peuvent être observées chez plusieurs citoyens cyrodiliques importants. Des colonies de "vrais Akavirois" (telles que Hakoshae) existent dans l'Empire comme dans les régions environnantes, et conservent leurs anciennes traditions et coutumes plutôt que la pureté de leur sang.[6] Les Tsaesci partagèrent leur technique de fabrication d'armes et d'armures appelée les "Arts Serpentins" avec les impériaux à l'époque de Réman I, bien que ce savoir fut dilué ou perdu au fil du temps.[36] À l'époque moderne, les Impériaux utilisent toujours de l'équipement de style tsaesci, surtout des dai-katanas et des armures d'écailles de dragon.[6]
Par la Légion impériale, les Impériaux et membres d'autres races qui y servent peuvent voir et utiliser des équipements métalliques de haute qualité. Les forgerons de la Légion peuvent forger des armures lourdes à partir de fer ou d'acier, ou même des objets dwemer, orques, d'ébonite ou daedriques.[37] L'œuvre de fiction historique bien recherchée 2920, Dernière année de l'Ère Première raconte que durant la guerre opposant Morrowind et l'Empire, la Légion s'est servi d'armures daedriques ainsi que d'autres équipements de haute qualité.[38] Tiber Septim désirait les grandes sources d'ébonite de Morrowind, ce qui était un des motifs principaux de l'invasion.[21] Suite à la signature de l'Armistice, cette ébonite fut protégée par la loi impériale durant le Troisième Empire et ne pouvait être minée ou exportée sans un permis impérial.[39] La Compagnie de l'Empire oriental devint essentiellement l'unique entité ayant l'autorisation de vendre ou d'acheter de l'ébonite brute.[40]
Nourriture
- Article principal: Cuisine impériale
L'approche des cuisiniers impériaux est la même qu'ils ont pour le reste des aspects des la vie: une approche simple et fière. En tant que diplomates et marchands rusés, ils remplissent leurs gardes-mangers de plusieurs des meilleurs ingrédients que Tamriel a à offrir. La position centrale de Cyrodiil, ainsi que sa richesse et son pouvoir, fait en sorte que les Impériaux mangent une grande variété de viandes, légumes et épices de partout sur le continent.[41]
Mort
- Article principal: Croyances impériales sur la mort
Les Impériaux appellent Aetherius, le plan de l'après-vie, le Paradis.[42] La théosophie impériale dit que le Paradis est un plan de magie pure et le siège des Divins et autres esprits originaux. Oblivion entoure le Mundus toutes les nuits, mais d'Aetherius, de l'énergie infuse l'existence et donne une raison d'être à tous. Sa magie "apporte la pluie sur les champs, l'amour dans les cœurs et les principes scientifiques [aux] activités [de chacun]." Elle donne le Soleil lui-même. Aetherius est aussi le lieu de résidence des Aedra, qui sont les pierres angulaires du Mundus dont les aspects peuvent être observés dans "les temples, les seigneuries et les défilés de héros."[6]
Les Impériaux enterrent tous leurs morts, généralement dans des cimetières construits dans et autour des villes et villages, ou dans des catacombes sous les chapelles des Huit ou Neuf Divins dépendamment de l'époque. Des pierres tombales parsèment le terrain des cimetières impériaux, signalant les endroits où les cercueils enterrés reposent. La plupart des gens sont enterrés ainsi. La noblesse, elle, est souvent enterrée dans des cryptes et catacombes gardées par des prêtres d'Arkay, qui veillent sur les morts.[43]
Sous-cultures impériales
Coloviens
Les Coloviens (aussi appelée Impériaux de l'ouest de l'Empire[44], ou simplement les Occidentaux)[6] sont les Impériaux modernes de Colovie. Leur culture est influencée par leurs racines nordiques[UOL 4] grâce aux Cyro-Nordiques qui s'étaient installés dans la région de la Colovie. Ils possèdent l'"esprit pionnier" de leurs ancêtres dont ils ont hérité la simplicité, ténacité et loyauté. Comme leur surnom de la "main de fer" de Cyrodiil l'indique, ils sont la force de l'Empire et constituent la majorité des soldats de l'Armée de rubis. Le peuple résolu des États coloviens causa la chute de l'Ordre Alessien suite à la Guerre de la Vertu.[6] Les Coloviens tendent à adopter un style de vie plus austère et aventurier ressemblant à celui de leurs ancêtres nordiques, et deviennent souvent des mercenaires et pirates.[6][18] L'unification des Impériaux sous Réman I n'éradiqua pas ces différences, bien que le culte des Huit Divins était bien répandu partout dans la province à la fin de la Première ère[1][6], et à l'époque moderne, ils sont toujours reconnus pour leur adoration des Divins.[45] Ils appellent Shezarr Shor dû à leur influence nordique.[18] Ils peuvent être différenciés des Nibenais par leur accent distinct.[46] Anvil, Chorrol, Kvatch et Skingrad sont des villes coloviennes notables.
Pour ce qui est des vêtements, les Coloviens s'habillent généralement pour la simplicité ou l'efficacité, contrairement aux Nibenais.[47] Les habits coloviens sont visuellement distinctifs de leurs racines, comme on peut le voir avec les casques pointus et fourrures portés par les habitants de Sancre Tor[48], ou l'armure des Coloviens du comté d'Anvil.[49] L'armure princière colovienne ressemble à l'armure impériale traditionnelle mais était portée avec un casque morion masqué.[50] Leur sens de la mode a influencé d'autres cultures, comme les Rougegardes d'Elinhir.[30]
Nibenais
Les Nibenais sont les Impériaux modernes du Nibenay. On dit qu'ils sont les descendants les plus près des Nèdes dû aux anciennes traditions qui ont survécu à travers eux[51], et sont éloignés de leurs racines nordiques dû à l'indépendance de leurs ancêtres qui les ont séparés de Bordeciel. Ils représentent la haute culture de Cyrodiil, ce qu'ils démontrent par leur amour des habits voyants, de la philosophie et par leurs traditions anciennes en constante évolution. Ils sont aussi reconnus pour leurs tapisseries, tatouages, marques et cérémonies élaborées.[6] Un Nibenais se tatoue généralement pour prouver son appartenance à ses croyances religieuses et politiques ou à son style de vie.[52] Les premiers Impériaux de l'est de Cyrodiil croyaient fortement aux Doctrines Alessiennes, même après la chute de l'Empire Alessien, ce qui les opposait à plusieurs pratiques, notamment à l'agriculture.[6] Ils s'en remirent au mercantilisme et devinrent une société particulièrement riche grâce à leur réseau de rivières. Ils exportaient plusieurs biens, incluant des textiles, des tissus, du sucrelune, du riz et des armures.[6] Même si leur croyance était monothéiste, elle ciblait souvent la nature plurielle de certaines facettes de leur société, et divers cultes opérèrent ouvertement au cours des années, dédiés à plusieurs esprits animaux et dieux-héros, ainsi qu'au culte ancestral.[6][18][19] Bravil, Bruma, Cheydinhal et Leyawiin sont des villes nibenaises notables.
Le mage de guerre impérial est l'épitomé de l'inclination nibenaise envers la magie. "Les harcèlements elfiques du Premier Empire" donnèrent naissance aux mages de guerre[6], une unité d'élite fondée durant les premières années de l'Empire Alessien alors que la distinction entre mage et guerrier était plus prononcée.[53] Au fil du temps, l'idée d'un mage de guerre devint moins unique, et ils se mirent à servir la Légion régulière. Regulus Tharn fut crucial à la réjuvénation de la tradition du mage de guerre durant la dynastie des Réman.[54] Ceux-ci furent davantage exaltés par la création du titre de "mage de guerre impérial", un poste prestigieux traditionnellement accordé au chef d'une unité.[53] Afin de clarifier la nomenclature, le "Mage de bataille impérial de Tamriel" est un titre distinctif représentant un aristocrate servant à la tête du Conseil des Anciens, et les "Mages de guerre impériaux" sont les chefs de troupes de mages de guerre.[53][55] Bien que les mages de guerre impériaux furent l'aristocratie régnante du Nibenay pendant un certain temps, ils furent remplacés par le sacerdoce Alessien dont la religion attira les faveurs de la classe populaire, mais ils reprirent leur place suite à la Guerre de la Vertu. À l'époque moderne, les mages de guerre impériaux forment une aristocratie nibenaise ancienne, et aux côtés d'organisations religieuses et de la noblesse marchande, ils se trouvent au-dessus des travailleurs des champs dans la hiérarchie sociale.[6]
Les Terres intérieures sont une sous-section du Niben. Les habitants de cette région de Cyrodiil sont séculaires tolérants des différences religieuses, qui voient la religion comme quelque chose de personnel et privé, ce qui les mena à voir le règne de l'Ordre Alessien comme une époque sombre. Ils ne parlent pas directement à leurs dieux et ne voient pas leurs actions quotidiennes comme étant constamment surveillées par eux.[56] La Cité impériale se trouve dans ces Terres intérieures, et son architecture est nibenaise, à l'exception des murs d'enceinte et de la Tour d'Or blanc, qui sont ayléides.[2] Les habitants de ces terres avant le règne impérial étaient appelés les Rois des mages, un titre mérité pour leur grand talent pour créer des enchantements résistant au passage du temps. Si un mendiant en venait à hériter d'un de ces objets enchantés, il pourrait en théorie atteindre un statut social princier.[57]
Hommes du Rebord
Les Hommes du Rebord (aussi appelés "Hommes du bord"[58]) sont un groupe d'Impériaux vivant dans les territoires du Rebord de la province d'Elsweyr. Ils descendent des serviteurs impériaux qui ont travaillé et se sont plus tard mélangés aux Tsaesci qui servaient le Second Empire de Cyrodiil. Ces réfugiés s'enfuirent de la Cité impériale suite à la mort de Savirien-Chorak en 2E 431 et à l'ascension du chef de guerre Attrebus durant l'Interrègne.[58] Ils vivent dans l'isolement face au reste d'Elsweyr et pratiquent la culture provenant de leur terre d'origine d'Akavir[59], comme lors du Festival des preuves ou par la croyance que les cours d'eau se rendent éventuellement aux terres des morts.[60]
Empires
Des portions majeures de la culture et de l'identité impériale est liée aux nombreux Empires de son histoire.
Empire Alessien
L'Empire Alessien, aussi appelé le Premier Empire[61], l'Empire de Cyrodiil[62][63] et l'Empire des Hommes[64], fut établi par les anciens esclaves de l'Empire ayléide en 1E 243 suite à la Révolte des esclaves.[65] L'Empire retrace sa fondation au moment auquel Sainte Alessia reçut les Feux du dragon et l'Amulette des rois de la part d'Akatosh; elle se servit de l'Amulette pour repousser les Daedra hors du plan des mortels.[66] Akatosh dît à Alessia que tant que les Feux du dragon demeuraient allumés et que ses héritiers portaient l'Amulette des rois, les portes d'Oblivion resteraient fermées et Tamriel serait épargnée des dépravations des Daedra.[66]
- Article principal: Empire Alessien
Second Empire
Le Second Empire, aussi appelé l'Empire cyrodiilien[6], l'Empire de Cyrodiil[67], et le Second Empire des Hommes[6], était un empire humain qui, à son apogée, contrôlait toutes les régions de Tamriel à l'exception de Morrowind.[6] L'histoire du Second Empire se divise en deux périodes principales: le règne de la dynastie Réman qui vécut les derniers siècles de la Première ère, et celui des potentats akavirois qui emmenèrent la Deuxième ère.
- Article principal: Second Empire
Empire de Cyrodiil
L'Empire de Cyrodiil[68][69], aussi appelé l'Empire impérial[70], fait référence à un État impérial qui existait durant les premières années de l'Interrègne. Bien qu'il s'identifiait comme un empire, il se différenciait de l'Empire Alessien, du Second Empire et du Troisième Empire du fait qu'il ne régna de manière permanente qu'en Cyrodiil et qu'aucun empereur Enfant de dragon ne fut jamais à sa tête.
- Article principal: Empire de Cyrodiil
Troisième Empire
Le Troisième Empire, aussi appelé le Saint Empire cyrodiléen de Tamriel[71], fut déclaré par Tiber Septim en 2E 854 suite au chaos de l'Interrègne, et fut forgé pendant des décennies de conflits pour unir Tamriel appelés la Guerre de Tiber.[6] Il survécut à toute la Troisième ère et était toujours actif deux siècles après le début de la Quatrième ère, mais semblait amorcer son déclin.
- Article principal: Troisième Empire
Institutions impériales
Conseil des Anciens
Légion impériale
Mananautes impériaux
Les Mananautes royaux impériaux du Conseil des Anciens étaient un groupe méconnu qui voyageait en Aetherius. Ils auraient été une relique de l'époque de la dynastie Réman.[11][47]
Durant le règne de l'empereur Réman I, des Impériaux auraient mit au point un plan pour coloniser les lunes Masser et Secunda et commencé la construction du navire-forteresse Mégalomoth autogénérée "NVN MaintÉpouse avec Intérêt" dans cet objectif. Réman n'aurait cependant pas vécu assez longtemps pour voir la complétion du navire, et ce dernier aurait été renommé le "NVN Accumulation" par l'empereur Réman II, qui aurait personnellement supervisé le premier alunissage sur Secunda.[UOL 5]
Mortecime
Université de Gwylim
Religion
Les Huit Divins, ou les Huit et Un en incluant Talos, sont la religion impériale principale.[72][73] Il existe plusieurs cultes dédiés à diverses religions dans la Cité impériale.[74][6][18] Malgré tout, les Impériaux ont un historique d'avoir banni l'adoration de divinités qui ne sont pas les traditionnels Huit Divins, même si l'étude de ces autres divinités était encouragée. Pendant l'Empire Alessien, les citoyens de l'Empire n'avaient pas le droit de vénérer ou d'idolâtrer Magnus, Y'ffre, Shéor et Phynaster, et leur adoration était considérée comme de l'hérésie.[75]
Divins
Les Huit et Un
-
- Akatosh, Dieu Dragon du Temps
- Chef parmi les divins, il contrôle le cours du temps. Associé aux dragons et aux qualités de l'endurance et de la légitimité.[20]
- Arkay, Dieu des Mortels
- Dieu des cycles, particulièrement celui de la vie et de la mort. Préside sur les rites funéraires et les enterrements, ainsi que sur les changements saisonniers.[20]
- Dibella, Déesse de la Passion
- Déesse de la beauté et de l'art, et l'un des Divins les plus populaires. Des cultes largement répandus lui sont dédiés qui offrent des services de guérison ainsi que de l'instruction sexuelle.[20]
- Julianos, Dieu de la Littérature
- Dieu de la logique, de la sagesse et des arts de la magie. Ses temples sont des institutions d'éducation en littérature, histoire et loi.[20]
- Kynareth, Déesse du Ciel
- Déesse des cieux, des vents et de la pluie. Sainte patronne des marins et voyageurs, et souvent apaisée pour obtenir la bonne fortune.[20]
- Mara, Déesse mère
- Déesse de l'amour, de la compassion, et de la fertilité. Préside sur les cérémonies du mariage.[20]
- Stendarr, Dieu de la Justice
- Dieu de la miséricorde et de la justice. Saint patron de tous ceux protégeant plus faibles qu'eux, des empereurs aux guerriers saints.[20]
- Zénithar, Dieu du Commerce
- Dieu du travail, du commerce et de la richesse, invoqué pour obtenir du succès dans les entreprises commerciales. Enseigne la prospérité par l'industrie honnête plutôt que la violence ou la traîtrise.[20]
- Talos/Tiber Septim
- Un mortel et empereur qui, à sa mort, devint un Divin. Le respect et l'admiration qu'avaient les Impériaux pour Tiber Septim n'était rien comparé à la vénération qu'ils ont pour lui en tant que dieu membre des Neuf Divins, malgré les hérésies répandues à propos de lui.[20][21] Ses accomplissements les inspirèrent à croire qu'ils pouvaient réussir n'importe quelle entreprise.[22]
Autres divinités
-
- Morihaus, le Premier Souffle de l'Homme
- Ancien dieu-héros culturel des Cyro-Nordiques. La légende le décrit comme le Preneur de citadelle, un acte des temps mythiques qui établît le contrôle humain sur les Terres intérieures. Il est souvent associé aux pouvoirs nordiques du thu'um, et donc à Kynareth.[76][18][20]
- Réman, le Cyrodiil
- Dieu-héros culturel du Second Empire, Réman I était le plus grand héros de la première invasion akaviroise. Il parvint à convaincre les envahisseurs de l'aider à construire son propre empire, et conquît tout Tamriel sauf Morrowind. Il institua les rites de l'ascension au poste d'Empereur, ce qui incluait le geis rituel de l'Amulette des rois, une gemme spirituelle au pouvoir immense. Aussi appelé le Dieu Terrestre, et un dieu conquérant comme Talos.[20]
- Shezarr, Dieu des Hommes
- Shezarr est l'esprit de toute entreprise humaine, particulièrement contre les agresseurs aldmeri. Les premières descriptions de Shezarr des premiers récits cyro-nordiques disent qu'il était un chef de guerre qui combattit les Ayléides, et s'opposa aux Aldmer. Suite à la victoire d'Alessia contre ses oppresseurs ayléides, l'adoration de Shezarr changea pour sa version moderne édulcorée pour apaiser les sujets au panthéon elfique d'Alessia ainsi que ses alliés Nordiques. À la fin de la Troisième ère, la vénération de Shezarr était presque abandonnée dû à une plus grande tolérance raciale.[20][18]
Saints
Daedra
À HIRCINE qui est la Demi-Conscience des Hommes.
À MALACATH qui parle tout Langage de Manière Distordue.
À MÉHRUNES DAGON dont la Maîtresse est le Soleil Brûlant.
À MOLAG BAL dont le Souffle est Plutôt Infect.
À NAMIRA dont les Agissements perdurent à Jamais.—Extrait des "16 Blasphèmes tolérables"[77]
Les Impériaux ont généralement une opinion négative des Daedra, quoique les Coloviens et les Nibenais étaient différents sur ce point durant l'Interrègne. Les Coloviens étant particulièrement religieux, ils refusaient typiquement de s'associer à des Daedra.[78] Durant cette époque, cependant, les Nibenais étaient davantage inclinés vers l'adoration daedrique.[79] Sous l'empire de Tiber Septim, les Princes daedriques étaient invoqués en tant que les 16 Blasphèmes tolérables.[77]
L'aversion impériale pour les Daedra était particulièrement apparente durant le règne des Empereurs des longères, une courte dynastie crevassaise qui se termina après que l'empereur Léovic ait légalisé la vénération daedrique (supposément sous l'influence de conseillers corrompus). Leovic s'attira ainsi la fureur de plusieurs nobles qui le soutenaient auparavant.[80] L'un de ces supporters, le duc Varen Aquilarios de Chorrol, réunît les armées des États coloviens et les mena contre Léovic lors d'une rébellion ouverte de 2E 576 à 2E 577.[81] Au final, Varen tua Léovic dans la salle du trône impériale, et le règne des empereurs des longères se termina.[82][83]
La Maison Tharn du Nibenay a toujours maintenu un lien avec les forces d'Oblivion.[84] Durant le règne de Varen, Abnur Tharn aida sans le savoir Mannimarco à causer l'Éruption des âmes, et jura ainsi sa loyauté au nécromancien (et par extension, à Molag Bal) dans l'intérêt de préserver l'Empire.[85][86] Contrairement à Abnur, plusieurs autres membres de la famille Tharn s'étaient associés complètement à Molag Bal; son neveu Javad était une figure importante de la secte de Brûlepierre (alliée au Culte du Ver de Mannimarco)[78], et Septima Tharn mena la Septième légion au nom du Prince daedrique.[87][88][89][61]
Les affaires de la famille Tharn avec Molag Bal furent la motivation première derrière l'invasion de Cyrodiil par l'Alliance de Dagnefilante, le Domaine Aldmeri et le Pacte de Cœurébène. D'abord, leur but était de déposer la famille Tharn, mais le conflit se transforma en la Guerre des Alliances.[90] En son honneur, Abnur Tharn rejoignit les Cinq Compagnons dans leur quête pour mettre fin à la Coalescence.[86]
Malgré l'aversion des Impériaux pour la vénération daedrique, elle n'est pas bannie en Cyrodiil, dû en partie à la Charte impériale qui permet à la Guilde des mages d'invoquer des Daedra. Cependant, l'opinion des institutions religieuses et du public est hostile, ce qui encourage les adorateurs de Daedra à pratiquer en secret. Certains construisent même leurs autels dans la nature, où les fidèles peuvent se recueillir en paix.[19]
Artéfacts
Amulette des rois
L'Amulette des rois, aussi appelée l'Amulette des rois de gloire, était un pendentif traditionnellement porté par l'empereur ou impératrice sur le trône de Cyrodiil. En son centre se trouvait le Chim-el Adabal, aussi appelé le Diamant rouge, une grande gemme spirituelle d'origine ayléide. Il était retenu par un fermoir doré entouré de huit gemmes plus petites représentant chacun des Huit Divins du panthéon cyrodilique original, créé par la reine Alessia. L'Amulette était un élément important de la cérémonie du couronnement et un puissant artéfact lorsqu'il était utilisé dans l'art de la divination. L'âme de chaque empereur et impératrice était consacrée dans la gemme centrale, probablement durant le rituel du couronnement impliquant les Feux de Dragon et le Pacte divin. Ainsi, les dirigeants de Cyrodiil étaient ensemble dans la mort, formant une "oversoul" capable de conseiller ses successeurs. L'Amulette ne pouvait être portée que par certains individus—ceux-ci étaient dits dotés du "sang du dragon". Les critères spécifiques sont cependant sujets à débat, et pourraient être les attributs nécessaires à un dirigeant, ou simplement la volonté divine.
L'Amulette des rois est un symbole sacré de l'Empire, quoique la majorité voie la Couronne du Dragon rouge comme le symbole principal du pouvoir impérial. Le Diamant rouge est aussi devenu un symbole associé aux Impériaux.
Bottes de l'Apôtre
Cotte de mailles du Seigneur
Lore:Cotte de mailles du Seigneur
Reliques du Croisé
Galerie
Apparences
Notes
- Les noms cyrodiliques populaires, certains aspects de l'architecture nibenaise, et la tradition martiale colovienne (l'organisation et l'équipement militaires) sont inspirés de l'Empire romain réel. De plus, les Impériaux ont souvent des noms d'origine italienne.
- Les Impériaux n'étaient pas considérés comme une race distincte dans les jeux jusqu'à Redguard, mais ont été une race jouable dans chaque jeu principal depuis. Le seul personnage nommé des premiers jeux qui a été confirmé comme étant un Impérial est l'empereur Uriel Septim VII, bien que ce savoir provienne des jeux suivants dans la série.
Voir également
- Noms impériaux
- Pour une liste d'Impériaux notables, veuillez consulter cet article.
- Pour de l'information spécifique aux jeux, veuillez consulter les articles de Redguard, de Morrowind, d'Oblivion, de Skyrim, d'ESO, de Legends et de Blades.
Livres
Références
- ↑ 1,00, 1,01, 1,02, 1,03, 1,04, 1,05, 1,06, 1,07, 1,08, 1,09 et 1,10 Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Cyrodiil
- ↑ 2,0 et 2,1 Motifs culturels 10 : Cyrods impériaux
- ↑ Abrégé du Code Pénal
- ↑ Description des Impériaux lors de la création de personnage dans Morrowind
- ↑ Provinces de Tamriel
- ↑ 6,00, 6,01, 6,02, 6,03, 6,04, 6,05, 6,06, 6,07, 6,08, 6,09, 6,10, 6,11, 6,12, 6,13, 6,14, 6,15, 6,16, 6,17, 6,18, 6,19, 6,20, 6,21, 6,22, 6,23, 6,24, 6,25, 6,26, 6,27, 6,28, 6,29, 6,30, 6,31 et 6,32 Guide de poche de l'Empire, Première édition/Cyrodiil
- ↑ Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Bordeciel
- ↑ La magie venue du ciel
- ↑ Le dernier roi des Ayléides
- ↑ 2920, Dernière année de l'Ère Première
- ↑ 11,0 et 11,1 Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Arena Supermundus
- ↑ Recueil d'essais sur l'histoire et la culture dwemer
- ↑ La cité infernale
- ↑ Guide d'Anvil
- ↑ Guide de Bravil
- ↑ Guide de poche de l'Empire, Première édition
- ↑ Manifesto Cyrodiil Vampyrum
- ↑ 18,0, 18,1, 18,2, 18,3, 18,4, 18,5, 18,6 et 18,7 Shezarr et les Divins
- ↑ 19,0, 19,1 et 19,2 Hérésie moderne
- ↑ 20,00, 20,01, 20,02, 20,03, 20,04, 20,05, 20,06, 20,07, 20,08, 20,09, 20,10, 20,11 et 20,12 Obédiences de Tamriel
- ↑ 21,0, 21,1 et 21,2 L'hérésie arcturienne
- ↑ 22,0 et 22,1 Les chevaliers des Neuf
- ↑ Événements de la quête Allumer les feux de dragon dans Oblivion
- ↑ Description du calcaire dans Blades
- ↑ Écrans de chargement d'Oblivion
- ↑ Dialogue générique de Morrowind
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Mycaelis Julus répond à vos questions
- ↑ Dialogue générique sur Caldéra dans Morrowind
- ↑ Dialogue générique sur Pélagiad dans Morrowind
- ↑ 30,0 et 30,1 Guide de poche de l'Empire, Première édition/Martelfell
- ↑ Texte descriptif des soies-ancêtres dans ESO
- ↑ La soie ancestrale étant le matériel à armures légères de la plus haute qualité dans ESO
- ↑ Texte descriptif des collants à fourrure coloviens monogrammés dans ESO
- ↑ Texte descriptif de la Capuche colovienne fourrée dans ESO
- ↑ Motifs artisanaux 40 : L'Ordre des Heures
- ↑ Motifs artisanaux 53 : Les Tsaesci
- ↑ Manuel d'armures
- ↑ 2920, Dernière année de l'Ère Première, Volume 6 : Mi-l'an
- ↑ Codex des objets sur elderscrolls.com
- ↑ Dialogue de Carnius Magius dans Bloodmoon
- ↑ The Elder scrolls : le livre de cuisine officiel
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Artorius Ponticus répond à vos questions
- ↑ Dialogue de Frédérique Lynielle durant la quête Déterrer le passé dans ESO
- ↑ Guide de Vvardenfell
- ↑ Écran de chargement de la Cathédrale d'Akatosh dans ESO
- ↑ Le seigneur des âmes
- ↑ 47,0 et 47,1 Special ZOS Lore Master Interview with Lawrence Schick
- ↑ Occidentaux (Sancre Tor) — Guide de poche de l'Empire, Première édition
- ↑ Colovien d'Anvil — Guide de poche de l'Empire, Première édition
- ↑ Prince colovien avec un garde du corps de Rihad – Guide de poche de l'Empire, Première édition
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Le chancelier Abnur Tharn répond à vos questions
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Dame Éloisse répond à vos questions
- ↑ 53,0, 53,1 et 53,2 TESO:Archives du maître du savoir/Le chancelier Abnur Tharn répond à vos questions 2
- ↑ Maison Tharn de Nibenay
- ↑ TESO:Présentation d'un personnage/Abnur Tharn
- ↑ Cultes de l'empire, réflexions
- ↑ Curiosités du Second Age
- ↑ 58,0 et 58,1 Guide de poche de l'Empire, Première édition/Elsweyr
- ↑ Dialogue de Magnate Feina-Darak dans ESO: Elsweyr
- ↑ Dialogue de Domitia Nasica dans ESO: Elsweyr
- ↑ 61,0 et 61,1 Bangkoraï, bouclier de Hauteroche
- ↑ Une vie d'épreuves et de lutte
- ↑ L'Onus des Oghma
- ↑ Les Brétons : bâtards ou parangons ?
- ↑ Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Toutes les ères humaines
- ↑ 66,0 et 66,1 Les épreuves de Sainte Alessia
- ↑ Histoire de la guilde des guerriers
- ↑ Les vrais héritiers de l'empire
- ↑ Chevaliers du Dragon (livre)
- ↑ Dialogue de l'impératrice régente Clivia Tharn dans ESO
- ↑ La Reine-Louve, livre I — Waughin Jarth
- ↑ Les dix commandements des Neuf Divins
- ↑ Dialogue du Prophète dans Oblivion: Knights of the Nine
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Le Dragon des Lames répond à vos questions
- ↑ Nouveau guide impérial de Tamriel/Hauteroche
- ↑ Le chant de Pélinal
- ↑ 77,0 et 77,1 Guide de poche de l'Empire, Première édition/Prologue
- ↑ 78,0 et 78,1 Dialogue de Kazirra dans ESO
- ↑ Extrait d’une conversation avec Tatianus Lepidus, historien colovien
- ↑ Éloge funèbre de l'empereur Varen
- ↑ La reine pirate de la Côte d'or
- ↑ Chroniques des Cinq compagnons, Vol. 1
- ↑ Chroniques des Cinq compagnons, Vol. 4
- ↑ Dialogue d'Abnur Tharn durant la quête Conseil des Cinq compagnons dans ESO
- ↑ Le rôle d'Abnur Tharn dans le déclenchement de l'Éruption des âmes durant la scène du passé observée durant la quête Le port dans ESO
- ↑ 86,0 et 86,1 Dialogue d'Abnur Tharn durant la quête Château du Ver dans ESO
- ↑ Au sujet du panthéon
- ↑ Dialogue de Septima Tharn durant la quête Prendre la garnison dans ESO
- ↑ Dialogue de l'érudite Laurette Diel durant la quête L'enquête de Corbeguet dans ESO
- ↑ The Elder Scrolls Online: Alliances at War
Note : Les références suivantes sont considérées comme des sources non-officielles. Elles sont incluses pour compléter cet article et peuvent ne pas faire autorité ou être concluantes.