Ayléides | |||
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Laloriaran Dynar, le dernier roi des Ayléides | |||
Régions majeures | |||
Historiquement | Présentement | ||
Cyrodiil | Aucune | ||
Religion | Culte daedrique (Daedraphiles), Huit Divins (Barsaebiques) | ||
Origines | Aldmer | ||
Descendance | Altmer, Bosmer | ||
Diaspora | |||
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—Phrase ayléide[1]
Les Ayléides, aussi appelés les Hauts-Elfes des terres intérieures[2], les Elfes sauvages, ou Saliache[3], étaient probablement la première race à établir un empire en Tamriel[4], et ont régné sur ce qui s'appelle à l'époque moderne Cyrodiil durant d'innombrables années avant l'histoire écrite.[5] Ils étaient généralement minces et élancés avec des oreilles pointues et des caractéristiques faciales angulaires. Leur peau était souvent plus pâle que celle des Dunmer, mais plus foncée que celle des Altmer[6]; le ton de leur peau était décrit comme légèrement bronzé à un bronze foncé, et la couleur de leurs yeux comme allant du blanc au turquoise.[7]
L'ayléidoon, leur langue[8][9], est similaire à l'aldméris, l'ancienne langue des Aldmer.[1][10] Les Ayléides sont les fondateurs originaux de la Cité impériale. Au coeur de celle-ci, ils ont bâti la Tour d'Or blanc, qu'ils appelaient le "Temple des Ancêtres", pour imiter la Tour Adamantine.[11][12] L'Empire ayléide s'est effondré au début de la Première ère lorsqu'il fut renversé par la Révolte Alessienne.[5] Alors que certains croient que des Ayléides vivent toujours dans toutes les provinces de Tamriel, peu de témoignages existent[4], et aucun n'est répertorié durant les Troisième et Quatrième ères.
Histoire
Ère méréthique
- "Portez le savoir comme une armure."[1]
Les Ayléides étaient à l'origine des groupes de Mer qui ont quitté l'Archipel de l'Automne pour créer des cultures dissidentes au centre et au sud-ouest de Tamriel.[13] Le premier de ces groupes quitta l'Archipel au milieu de l'Ère méréthique après que l'endroit ait été cartographié par Topal de Pilote et par d'autres.[14][15][16] Certains groupes ont quitté l'Archipel spécifiquement pour éviter les régulations aldmeri qui interdisaient, entre autres, le culte des Daedra.[13] Les Ayléides se trouvaient déjà en Hauteroche durant la Première ère[nb 1], et leurs ruines se trouvent au travers toute la province, incluant les montagnes de Wrothgar et jusqu'à l'île de Brétonie.[17][18]
Bien qu'ils se soient surtout installés en Cyrodiil, les Ayléides barsaebiques s'étaient aussi installés dans ce qui est à l'époque moderne le Marais noir. Les dirigeants ayléides du Marais noir étaient reconnus comme de grands nécromanciens.[19] Les cités de Gidéon et de Fort-Tempête étaient à l'origine des colonies ayléides dont les noms se sont perdus dans l'Histoire.[20][21] Le plus vieux témoignage aldmeri des terres intérieures de Cyrodiil par Topal le Pilote parle d'Hommes-oiseaux amicaux qui y vivaient[22], mais ces natifs ont disparu de l'Histoire et se sont fait remplacer par les Ayléides. Il est possible que ces Hommes-oiseaux aient été réduits en esclavage par les Ayléides.[23]
Loin d'Alinor, la culture ayléidique s'est épanouie. Durant le dernier millénaire de l'Ère méréthique, le culte de Daedra se répandit chez les Ayléides. Les cultes dédiés aux nombreux Princes daedriques qui sévissaient à travers Cyrodiil et n'étaient autrefois que tolérés furent célébrés.[13] Contrairement aux Chimer qui quittèrent l'Archipel dans la deuxième moitié de l'Ère méréthique[14][24], les Ayléides ne faisaient pas de distinction entre les "bons" et "mauvais" Daedra. Même certains des Princes les plus vils étaient vénérés en masse, surtout lorsque leur vénération était adoptée et encouragée par les rois et aristocrates ayléides.[13]
Les Ayléides ont conclu des pactes avec des Daedra pour obtenir pouvoir, bénédictions et autres.[25][26] Ils employaient des armées entières de Daedra pour conquérir, subjuguer et imposer leur règne.[2][27] Dans les plus anciennes histoires cyro-nordiques, Shezarr affronta les Ayléides au nom de l'humanité, avant de disparaître, supposément pour aider les humains ailleurs. Sans sa guidance, les Cyrodiils furent dominés et réduits en esclavage par les Ayléides.[28] Cet esclavage des peuples nédiques était au départ occasionnel, mais devint éventuellement une institution systématique et répandue dans la société ayléide.[13] Ils ont fini par contrôler l'entièreté de ce qui s'est plus tard appelé Cyrodiil, et les Nèdes y furent gardés en esclavage pendant des générations.[29] Les Ayléides auraient aussi réduit en esclavage des races bestiales.[23]
La forteresse d'Ilayas fut construite sur la colline du bord de mer de Malabal Tor, dans la province de Val-boisé, durant l'Ère méréthique, et elle fut active durant les années glorieuses de l'Empire ayléide, vers les années ME 850 et 900. Les seigneurs ayléides d'Ilayas faisaient partie d'un ancien ordre de mages de foudre appelés les Gardes-tempête, qui protégeaient la côte de potentielles invasions et se servaient d'un artéfact ayléide appelé la Sphère des tempêtes, une orbe puissante se servant de magie météorologique pour manipuler les vagues et fournir de l'eau aux agriculteurs.[30]
Vers la fin de l'Ère méréthique, au sommet du règne ayléide, Abagarlas était une cité riche qui prospérait grâce à sa grande population de mercenaires.[31] Située près de là se trouvait la cité de Délodiil, où se trouvait un glorieux temple dédié à Méridia, la Dame de la Lumière. Envieux du temple de Délodiil, le roi Anumaril d'Abagarlas ordonna la construction d'un temple bien plus massif en l'honneur de Molag Bal. Bien que ce dernier soit bien plus grand que celui de Délodiil, sa conception était grossière et déplaisante à regarder, et il échoua à impressionner le peuple de Délodiil et leur roi, Cénédelin. Apprendre le dédain qu'avait Délodiil pour son temple enragea Anumaril, et après avoir profané le petit autel d'Abagarlas à Méridia, il ordonna la destruction de Délodiil et proclama qu'il allait sacrifier sa population à Molag Bal.[31] Anumaril, en appelant à son sombre maître, obtint une armée de morts-vivants et le savoir nécessaire à la construction d'une arme appelée le Mortuum Vivicus, qui drainerait Délodiil de toute vie et transformerait ses citoyens en serviteurs morts-vivants de Molag Bal.[32] Méridia, au courant des plans maléfiques de Molag Bal et d'Anumaril, avertit ses sujets à Délodiil, qui envoyèrent un petit groupe de prêtres à Abagarlas pour qu'ils détruisent l'arme. En atteignant Abagarlas, les prêtres tracèrent un chemin sanglant à travers la ville, passant à l'épée la femme d'Anumaril, la reine Palolel, et son fils, le prince Malyon. Rapidement, les prêtres atteignirent le Mortuum Vivicus et empêchèrent son activation. Cependant, Molag Bal emmena la contraption dans Havreglace avant qu'elle ne soit complètement détruite. Après que les prêtres aient fui la cité, poursuivis par des morts-vivants, Méridia la détruisit à coups de foudre divine.[33]
Le Schisme de Narfinsel était un conflit civil qui dura de la fin de l'Ère méréthique à l'an 1E 198. Cette guerre opposa les Ayléides vénérant les Aedra à ceux qui vénéraient les Daedra en Cyrodiil. Sa conclusion par la Purge de Wendelbek marqua la fin de toute résistance organisée contre le culte des Daedra. Les effets à long terme du Schisme auraient grandement contribué à la chute de l'Empire ayléide et de la Tour d'Or blanc, près d'un demi-siècle plus tard.[34][35]
Première ère
Durant la Première ère, aux côtés de ses forces mortes-vivantes, l'immortel Celemaril, le Porteur de Lumière, guerroya à travers Tamriel.[36] Son frère Valentis mena d'autres rois ayléides dans une rébellion contre Celemaril. À l'aide de pierres de Varla et d'un Parchemin des Anciens, Valentis mit sur sa tête la couronne de Celemaril et prononça une incantation rituelle scellant son frère dans une crypte cachée sous une statue de marbre à son effigie sous le village de Cimeflots.[37] Durant son règne, Valentis effaça tout ce qu'il pouvait de l'histoire de Celemaril et de sa conquête.[36] Valentis fonda également un village autour de la statue de Celemaril.[38]
Un certain temps avant la Révolte Alessienne, un clan d'Ayléides barsaebiques mené par un mage ayléides appelé Myndhal mena une invasion dans la région de Tourbevase dans le sud du Marais noir afin d'y voler les âmes des Argoniens qui y vivaient. Les Ayléides menèrent une série d'attaques sur la tribu Murmure-Racine. Celle-ci échoua à résister, forçant le Hist de la tribu à prendre une mesure drastique: la création d'une "graine", une gemme ambrée qui serait plus tard appelée le Vestige d'Argon, capable de contenir les âmes de la tribu, empêchant les Ayléides de les récolter. Ainsi, le Hist avait l'intention de préserver la tribu et de tomber dans un état de dormance duquel il ne se réveillerait que lorsque la menace ayléide sur Tourbevase serait terminée.[39][40] Apprenant la création du Vestige d'Argon, et ayant échoué à le récupérer pendant sa formation, Myndhal tenta par tous les moyens possibles de le trouver pour se servir de son pouvoir. Un autre mage ayléide, Houtern, construisit des portes de nexus alimentées par des pierres de Welkynd qui se connectaient à Eld Angavar dans le but de traverser Tourbevase dans la recherche pour le Vestige. Au fil du temps, ceci créa un "chemin doré", un océan de portes d'azur se connectant entre elles dans un néant autrement vide. Cependant, les Ayléides échouèrent ultimement dans leurs recherches, et ils furent forçés de se servir de technologies argoniennes pour trouver le Vestige.[41] En se servant de pierres de vakka argoniennes, Myndhal théorisa qu'il pourrait créer un lien jusqu'à l'endroit où le Hist avait caché le Vestige, et jura qu'il le trouverait même s'il lui fallait des "centaines d'années". En 2E 582, le Vestige traversa Eld Angavar et tua Myndhal, qui était devenu un mort-vivant et semblait toujours chercher le Vestige d'Argon.[41]
Révolte Alessienne
L'exemple des Nordiques au nord inspira la Révolte Alessienne de 1E 242.[42] La révolte d'Alessia coïncidait avec une guerre civile au sein de l'Empire ayléide, ce qui mena plusieurs seigneurs ayléides à joindre leurs forces à celles d'Alessia et à assister sa rébellion.[5][43] Ces alliés d'Alessia vénéraient majoritairement les Aedra[13], indiquant que le schisme parmi les Ayléides trouvait probablement sa source dans des différences religieuses.
Bordeciel offrit son aide aux humains qui avaient été réduits en esclavage sous l'Empire ayléide et joua un rôle important dans la révolte.[44][45] En un an seulement, la Reine-esclave Alessia et ses alliés avaient pris le contrôle de la Tour d'Or blanc et fondé l'Empire Alessien.[44][15]
Un certain temps après la Révolte Alessienne[46], de nombreux royaumes ayléides menèrent des recherches désespérées pour trouver la mythique Ragepierre, une arme qu'il croyaient capable de les sauver des forces de l'Empire Alessien qui se rapprochaient. Une expédition se rendit dans la cité dwemer de Mzulft, dans la châtellerie d'Estemarche en Bordeciel, où des rumeurs racontaient que la Ragepierre se trouvait. Les Ayléides assiégèrent Mzulft, mais échouèrent à y pénétrer ou à récupérer l'artéfact.[47] Les Ayléides ignoraient que les Dwemer ne possédaient que la moitié gauche de la Ragepierre, et que celle-ci ne se trouvait pas à Mzulft, mais plutôt non loin, à Kagrenzel.[47] Après l'échec du raid sur Mzulft, Méridia apparut à ses fidèles et leur offrit un avertissement cryptique selon lequel l'Empire ayléide tomberait bientôt, et confia la moitié droite de la Ragepierre à Roi Narilmor de Garlas Malatar. Pour garder ce morceau en sécurité[46], Narilmor refusa toute aide et tout asile aux réfugiés ayléides désespérés d'autres royaumes, les empêchant d'entrer dans sa cité.[48] On n'entendit plus de nouvelles des habitants de Garlas Malatar. Bien que la cité ait éventuellement été assiégée par des humains, certains racontent que les agresseurs ne parvinrent même pas à y entrer avant qu'elle ne s'effondre en ruines; on spécule qu'elle aurait chuté de l'intérieur, à cause de conflits internes ou de sabotage.[48]
La fin de la période ayléide
- "Nos ancêtres elfes exilés ont entendu les cadeaux de bienvenue dans les rivières, les hêtres et les étoiles."[1]
La Révolte Alessienne fut dévastatrice pour les Ayléides. Les légendes racontent que des colonies entières furent massacrées aux mains du champion d'Alessia, Pélinal Blancserpent.[9] Bien que les Ayléides aient continué à avoir une certaine présence en Cyrodiil pendant de nombreux siècles, la chute de la Tour d'Or blanc en 1E 243 signa la fin de la période ayléide et le début de la Diaspora ayléide. Le Temple des Ancêtres fut converti en Palace impérial pour Alessia et ses descendants, et l'est toujours à l'époque moderne. La région de Bravil fut l'une des dernières à être libérées par l'armée Alessienne. Il fallut aux forces d'Alessia, menées par Bravillius Tasus, quatre tentatives pour vaincre les Ayléides qui s'y trouvaient.[49] Durant ces premières années, l'Empire Alessien interdit le culte des Princes daedriques et se concentra sur la chasse et l'extermination des Ayléides daedraphiles.[13]
La culture ayléide demeura dominante dans les cités-États vénérant les Aedra qui avaient survécu en tant que royaumes vassaux du Cyrodiil Alessien, mais le ressentiment face à la présence de nobles ayléides au sein de l'Empire Alessien fut un facteur contribuant à la formation de l'Ordre Alessien par Marukh. En 1E 361, les Alessiens prirent contrôle de l'Empire et imposèrent les Doctrines Alessiennes partout sur son territoire. Les seigneuries ayléides furent abolies. L'imposition de ce décret ne semble pas avoir nécessité beaucoup de violence—il semble que la balance du pouvoir penchait tellement en faveur des Alessiens, que le destin des Ayléides était si évident, que la plupart d'entre eux choisirent simplement de quitter Cyrodiil pour rejoindre la Diaspora ayléide, et furent éventuellement absorbés dans les populations elfiques de Val-boisé et d'Hauteroche.[5][50] Certains clans ayléides se sont installés dans les montagnes de Wrothgar.[51] On spécule que l'exode des Ayléides de Cyrodiil aurait grandement renforcé l'hégémonie Direnni en Hauteroche—si c'est bien le cas, alors les Ayléides ont eu leur vengeance, la guerre entre les Direnni et l'Empire Alessien ayant éventuellement affaibli ce dernier et causé sa chute.[5][52]
Les seuls Ayléides connus à être restés en Cyrodiil servaient de mentors et de tuteurs pour la nouvelle noblesse humaine.[53]
Vers les années 1E 372-374, l'empereur Alessien Ami-El offrit un ultimatum au roi Dynar. Lui et son peuple se voyaient forcés d'abandonner Nenalata et de fuir en Hauteroche pour échapper aux pogroms anti-Ayléides.[54] Durant leur exode, des chasseurs parmi les Ayléides de Nenalata se servaient de montures senche tous les jours pour traquer et chasser du gibier pour nourrir les réfugiés.[55] En Hauteroche, le roi Dynar et son peuple furent les bienvenus parmi le clan Direnni. Après avoir déplacé les résidents Orques, ils s'installèrent sur les rives du lac Halcyon. Là le roi Dynar fonda la nouvelle cité de Bisnensel, une copie miniature de Nenalata.[54][56]
Vers les années 1E 453-460, un culte dédié à Hyrma Mora se forma à Bisnensel. Leur dirigeant, le Grand Prêtre Uluscant, demanda davantage d'influence sur les affaires municipales tandis que le culte gagnait en pouvoir. Le roi Dynar le lui refusa. Quelques mois plus tard, le roi Dynar fut déposé et forcé de fuir Bisnensel.[54][56] Il fuit avec sa famille à Balfiéra, où ils se virent offrir l'asile par les Direnni. Plus tard, Dynar fut considéré comme un tacticien et stratège de grand talent dans l'armée des Direnni.[54]
À la fin du cinquième siècle, l'Ordre Alessien mena une invasion en Hauteroche. Celle-ci culmina dans la grande Bataille des landes de Glénumbrie, à laquelle Dynar participa.[54][5] La bataille fut remportée par les Direnni, portant un coup fatal à l'Ordre Alessien.
Durant les années 1E 482-484, Dynar retourna dans les Terres intérieures et fut attiré à Nenalata, où il tomba dans un piège de Molag Bal et fut emprisonné en Havreglace dans une réplique de la Tour d'Or blanc.[54] Il y resta pendant plus de trois mille ans.[57] D'autres sources racontent qu'il n'a pas été capturé par Molag Bal à Nenalata, mais était plutôt présent dans la Cité creuse pendant qu'elle était toujours en Cyrodiil, et qu'il aurait été poussé en Havreglace avec elle avant d'être capturé.[58]
Il est possible que certaines tribus ayléides continuent d'exister profondément enfouies dans les forêts de Cyrodiil, mais les témoignages connus les plus récents dataient de plus d'un millénaire avant la fin de la Troisième ère.[4][6]
Héritage
Deuxième ère
En 2E 582, le roi Dynar fut finalement libéré par le Vestige qui avait infiltré Havreglace avec les Guildes des guerriers et des mages dans un effort pour arrêter la Coalescence orchestrée par Molag Bal. Le roi ayléide prit contrôle des forces de la Guilde des guerriers, laissées sans meneur après la mort de leur capitaine. Le groupe, mené par le Vestige et assisté par Méridia, réussit éventuellement à mettre un terme à la Coalescence dans le Vortex planaire, mais le roi Dynar fut mortellement blessé en tentant de fermer un portail daedrique. Il mourut peu de temps après dans la Cité creuse, dans la Chapelle de lumière de Méridia.[57] Son esprit serait ensuite allé en Aetherius.[59][60]
L'esprit du roi Kadhuul, ainsi que ceux de son armée et de quelques atronachs de feu, sont réapparus à Ceyatatar durant la Coalescence en 2E 582, mais ils furent bannis par des soldats combattant dans la Guerre des Alliances avant de pouvoir atteindre la localité voisine de Vlastarus.[61]
Vers 2E 283[62], une expédition impériale toute entière du Fort Brumeguet fut convertie en Méridians purifiés en découvrant le pouvoir caché dans Garlas Malatar, servant contre leur gré de protecteurs pour la Ragepierre.[63] En 2E 582, la chasseuse de trésors Tharayya, accompagnée des Indomptables, mit au jour les horreurs du passé de Garlas Malatar. L'expédition repoussa les hordes de Méridiens purifiés qui tentaient de les convertir et rencontra le roi Narilmor, qui gardait la Ragepierre depuis trois mille ans.[64] Il fut vaincu mais se transforma en la Symphonie des Lames, un avatar du pouvoir de Méridia, l'image d'une armure aurorienne dotée de quatre bras et épées. Il téléporta les Indomptables aux Chambres colorées, où son pouvoir était à son paroxysme. Ceci ne fut pas suffisant pour vaincre l'expédition, et Tharayya put ainsi récupérer la moitié droite de la Ragepierre.[65]
Vers environ 2E 582, une ruine ayléide appelée Hecul fut découverte par une organisation nommée les Sœurs Vélothril. Elles ont employé de nombreux chasseurs de primes pour piller les ruines, mais ils y ont tous péri.[66] Une de leurs anciennes procuratrices, Valyne Hlan, découvrit qu'une malédiction probablement daedrique avait été jetée sur les ruines pour que tous ceux tentant de mettre à jour ses secrets se verraient forcés de marmonner ou écrire la phrase "abavarlor" jusqu'à ce que mort s'en suive.[67] On présume qu'il s'agit de la raison pour laquelle cette ruine était perçue comme "exclue" même parmi les Ayléides.[68]
Troisième ère
En 3E 433, la couronne du roi Dynar (dont le nom avait été oublié) était en possession d'une connaisseuse des Ayléides nommée Herminia Cinna. Un collectionneur rival nommé Umbacano envoya quelqu'un récupérer la couronne, qu'il avait l'intention d'utiliser pour devenir le roi de Nenalata et restaurer la civilisation ayléide en invoquant une armée mort-vivante dans Nenalata. Cinna, cependant, ne voulait pas s'en défaire, espérant plutôt tromper Umbacano en lui vendant la Couronne de Lindai. On ignore laquelle Umbacano a finalement obtenue. Dans tous les cas, Unmbacano fut tué dans l'année durant une expédition à Nenalata.[69]
Quatrième ère
En 4E 180, les mercenaires de la Reine des Chutes de sang furent envoyés collecter les taxes du village de Cimeflots, qui refusait de payer les taux trop élevés. La tension monta entre les villageois et les mercenaires, et ces derniers détruisirent la statue qui trônait au milieu du village, déclenchant le réveil du roi ayléide Celemaril, le Porteur de Lumière. Le Guerrier partit reconstruire le village et sauver Tamriel de la liche qui venait d'être éveillée. Pour re-sceller la liche, le Guerrier récupéra la couronne de Celemaril, cinq pierres de Varla, un Parchemin des Anciens et une tablette en pierre sur laquelle l'incantation rituelle nécessaire était inscrite. Dans le temps qu'il fallut au Guerrier pour assembler ces éléments et l'information nécessaires, Celemaril avait rassemblé une armée mort-vivante. Il mena un assaut final contre Cimeflots alors qu'il affrontait le Guerrier en duel. Le Guerrier fut victorieux et scella Celemaril à nouveau sous Cimeflots.[70]
Société
- "Dans les cavernes du savoir, atroces et obscures, brillent l'or de la vérité."[1]
La société ayléide était une alliance de royaumes unis sous un empire, qui s'est terminé en 1E 243 avec la mort de son champion Umaril le Dépouillé et la chute de la Tour d'Or blanc.[4]
L'impact de la perte de la tour des Ayléides, qu'ils appelaient le "Temple des Ancêtres", n'est pas à sous-estimer. Ils l'avaient bâtie pour émuler la Tour Adamantine[12], et avaient créé le Chim-el Adabal, qu'ils croyaient être le sang cristallisé du cœur de Lorkhan, dans la pierre des fondations de la tour.[71] Il s'agit du site où les Dix Ancêtres, des statues sacrées des Ayléides, étaient traditionnellement conservées. Ils furent dispersés avec différents groupes durant le siège de la Tour d'Or blanc pour les garder en sécurité, mais ils ne furent réunis qu'à la fin de la Troisième ère, bien longtemps après la chute des Ayléides.[11][25]
Les Ayléides portaient souvent des plumes et billes magiques.[9] On dit qu'ils auraient été "obsédés" par le chiffre huit (ce qui est peut-être la raison pour laquelle le panthéon de Sainte Alessia comprend Huit Divins).[29]
Le plupart des humains s'accordent pour dire que la chute des Ayléides, si ce n'est leur extinction, eut un effet positif, les récits à leur sujet provenant de leurs anciens esclaves les décrivent comme cruels. Les érudits parlent des Ayléides comme étant belliqueux et arrogants, et pointent ces traits comme la raison ultime de leur chute.[26][42][43] Les Ayléides se servaient d'esclaves pour de nombreuses fonctions, incluant l'agriculture, l'amusement, et la construction et maintenance de l'infrastructure de leur empire. Selon les légendes, les Ayléides auraient fait de leur cruauté une forme d'art, et plusieurs Ayléides daedraphiles en Cyrodiil s'amusaient à créer de l'"art-torture".[29][13]
Typiquement, les royaumes ayléides où les Princes daedriques les plus vils étaient vénérés sont ceux où les esclaves recevaient le pire traitement.[13] De nombreux endroits devinrent célèbres pour les méthodes particulières et élaborées par lesquelles leurs esclaves étaient torturés, notamment les "roues de la torture", les "jardins de boyaux", la "sculpture sur chair", et l'ingestion forcée de drogues hallucinogènes, ainsi que l'immolation d'enfants dans le but d'éclairer leurs combats de tigres nocturnes.[29]
Tandis que le nombre de royaumes ayléides baissait, leurs citoyens se sont apparemment adaptés à un style de vie plus rural, élusif, et possiblement nomade. Si des Ayléides vivent toujours, leur existence n'est pas connue du public. Le sage ayléide Tjurhane Fyrre (1E 2790 - 2E 227) écrivit extensivement sur l'état de la culture ayléide. Selon Fyrre, les Ayléides de son époque vivaient dans une société tribale, chaque "tribu" étant très différente de la suivante.[4] Les colonies ayléides du Marais noir de l'époque moderne étaient particulièrement éloignées de la culture des Terres intérieures, et elles ne furent jamais les cibles des armées Alessiennes.[20] On ignore quel fut le sort de ces colonies.
Magie
La magie avait une importance énorme dans la société ayléide. En accord avec la religion altmeri, les Ayléides croyaient que Nirn était composé de quatre éléments de base: la terre, l'eau, l'air et la lumière (en opposition aux quatre éléments de la philosophie naturelle moderne: la terre, l'eau, l'air et le feu).[72][73] Une partie de leur magie prenait sa source dans les conditions météorologiques.[25] La forme la plus sublime de leur magie était la lumière stellaire, les étoiles étant le conduit entre le Mundus et Aetherius.
Ils se servaient de fragments aethériques qui tombaient des cieux, particulièrement de fer météorique, pour construire des réceptacles qui s'appropriaient de l'énergie stellaire. Ces "puits ayléides" sont dispersés partout en Cyrodiil et peuvent toujours être utilisés par des mages pour récupérer de l'énergie. La logique de leurs emplacements est un mystère, et aucun ne semble associé à une ville ou un village ayléide particulier. Ils gardaient des morceaux de verre météorique coupés appelés pierres de Welkynd (signifiant littéralement "enfant du ciel") en tant que contenants pour de l'énergie magique, ainsi que de ce qui s'appelle des pierres de Varla (ou "pierres des étoiles").[73] Il s'agissait toujours d'une technologie émergente quand la Révolte Alessienne a déclenché la chute et la disparition de la société ayléide.[74] Certains de ces cristaux avaient la capacité de stocker et de partager des souvenirs directement avec un lecteur; la surutilisation de ces cristaux pouvait causer un "problème de capacité" pour les mortels.[75] Les pierres de Varla servaient occasionnellement à imprégner des diadèmes barsaebiques.[76]
Ils ont préservé plusieurs des anciennes runes et magies de l'Ère de l'Aube des Ehlnofey que d'autres Elfes avaient oublié.[14][77] Ils ont également développé ce qui fut plus tard appelé l'école d'Altération, étant doués pour la magie telle que le changement d'apparence et la lévitation.
Architecture
Tout comme les ruines des Dwemer se retrouvent partout en Bordeciel, Lenclume et Morrowind, les Ayléides ont laissé des ruines partout en Cyrodiil et dans d'autres régions qui étaient autrefois sous leur contrôle. Ces cités souterraines peuvent se prouver mortelles pour ceux et celles qui les explorent, dissimulant des dangers tels que des pièges, des monstres, des morts-vivants et des criminels. Leurs cités étaient exploits d'architecture, allant de petits villages à de gigantesques cités labyrinthiques sculptées dans de la pierre blanchâtre et incorporant des pierres de Varla et de Welkynd pour qu'elles soient utilisées dans le cadre de leurs arts magiques.[25][78][49]
Les prophéties des yeux-de-mites prédirent que l'orgueil ayléide "allait porter des fruits amers"[71], un avertissement que nombre d'entre eux ont apparemment ignoré.
Religion
Aedra
Il est difficile de faire une remarque s'appliquant sur l'ensemble de la religion ayléide. Ils commençèrent leur existence en tant que plusieurs groupes disctincts et ne furent jamais complètement unis dans leurs croyances.[13] Bien que de nombreux historiens les décrivent comme "sans dieux" et "adorateurs de Daedra"[79], leur société était fondamentalement dédiée au culte des Aedra jusqu'au dernier millénaire de l'Ère méréthique.[31]
Même après la montée au pouvoir de cultes daedriques (tel que discuté plus haut), de nombreux royaumes ayléides ont continué d'honorer les Aedra.[13] De nombreux esclaves en Cyrodiil se mirent à vénérer les Aedra et adoptèrent plusieurs des croyances de leurs anciens maîtres[2][28], et on suspecte même qu'Alessia aurait incorporé les Aedra elfiques dans son panthéon des Huit Divins dans le but d'apaiser ses vassaux ayléides.[13] Les Ayléides vénéraient leurs ancêtres[11], et "Aedra" est un mot elfique signifiant vaguement "ancêtre".[80]
Auri-El
Auri-El a été grandement vénéré par les Ayléides.[11] Des statues d'Auri-El montrent un aigle soulevant une personne portant un bouclier et un arc du sol.[25][81]
Magnus
Magnus était vénéré par certains Ayléides comme étant le "dieu de la vision, de la lumière et de la perspicacité", et de nombreux temples lui étaient dédiés.[72][81]
Mara
Stendarr
Trinimac
Xarxès
Y'ffre
Daedra
Hyrma Mora
La cité de Bisnensel se mit à vénérer Hyrma Mora sous la direction du Grand Prêtre Uluscant, qui établît une congrégation à Bisnensel qui attira plusieurs des membres avec le plus d'influence dans la communauté. La congrégation grandissant en nombre, Uluscant demanda à avoir plus de poids dans les affaires municipales, une requête refusée par le roi Dynar. Quelques mois plus tard, Dynar perdait son poste.[56] Les Ayléides de Bisnensel transformèrent la cité en temple et y enfermèrent du savoir interdit sur l'ordre naturel qui pouvait potentiellement permettre à quelqu'un de manipuler la réalité même.[82]
Méhrunes Dagon
Dans les temps anciens, Méhrunes Dagon créa ce qu'il appela le Nefarivigum pour défier ceux qui s'en approchaient afin de les soumettre à une épreuve. Ceux qui réussissaient étaient considérés comme dignes de brandir le Rasoir de Méhrunes. Situé en Cyrodiil, le Nefarivigum fur découvert par les Ayléides anciens, qui croyaient par orgueil pouvoir détourner ceux qui recherchaient le Rasoir. À cette fin, ils construisirent la vaste cité de Varsa Baalim au sommet de la civilisation ayléide. Pendant des années, des pèlerins se rendirent à Varsa Baalim à la recherche du Rasoir, avant d'être forcés de rebrousser chemin. Un jour au début de la Première ère, un vampire infiltra la cité. Rapidement, celle-ci fut envahie de morts-vivants et jetée dans le chaos. Ensuite, dans un mystère total, elle disparut, puis serait réapparue dans les montagnes de l'est du Bassin du Niben.[26]
Méphala
La cité ayléide d'Erokii était dirigée par la princesse Anurraame, dont la grâce, sagesse et beauté étaient sans égale. Elle maria un prince, et leur relation fut heureuse pendant un moment. Cependant, le mari d'Anurraame partait pendant de longues périodes. La passion de la princesse s'éteint, et elle prit pour amoureux un jeune guerrier. Son mari eut vent de cette affaire, et amassa son armée pour assiéger la cité. Anurraame jura de lui faire face au combat, et son amoureux de préparer ses propres forces pour défendre la cité. Quand le jour de la bataille arriva, Anurraame découvrit que son amoureux l'avait trahie pour un pot-de-vin et que ses légions avaient rejoint celles de son mari. La princesse en appela aux Daedra pour recevoir de l'aide pour défendre sa cité, et Méphala répondit à l'appel. Elle ordonna à Anurraame de verser toutes ses larmes dans une bassine, puis les imprégna du pouvoir de la haine de la princesse pour son amoureux, une haine seulement renforcée par l'amour qu'elle ressentait pour lui avant qu'il ne la trahisse. Ses larmes devinrent un artéfact puissant nommé les Larmes d'Anurraame, dont la princesse se servit pour détruire à la fois les deux armées et sa cité en un clin d'œil.[83]
Mérid-Nunda
Mérid-Nunda (aussi appelée l'Irradiante et l'Arc-en-ciel de Lumière)[84] était une figure extrêmement importante pour les Ayléides, considérée comme la personification de leur quatrième élément, la lumière.[85] Elle était souvent illustrée par les Ayléides comme ayant des ailes et portant un capuchon.[86]
Mérid-Nunda était la sainte patronne de Garlas Malatar, une cité construite sur la Côte d'or. Son dirigeant, le roi Narilmor, était un adorateur dévoué de Mérid-Nunda qui dédia sa vie et sa cité à sa vénération. Il était considéré comme un des favoris du Prince daedrique, surpassé uniquement par son champion, Umaril le Dépouillé. Elle offrit à sa cité une relique appelée le Guide de lumière, qui brillait au-dessus de Garlas Malatar d'une lumière inextinguible. Il s'agissait d'une balise littérale et métaphorique, visible de très loin.[48]
Les Impériaux se souviennent d'elle comme d'un saint patron et mentor des Elfes des terres intérieures, et d'une complice dans l'oppression et l'esclavage de leurs ancêtres.[87]
Mola Gbal
Molag Bal était orthographié Mola Gbal par les Ayléides[88], et était le saint patron de la cité d'Abagarlas.[31][89]
Le roi Anumaril d'Abagarlas se vit offrir une armée de morts-vivants et le savoir nécessaire à la construction d'une arme appelée le Mortuum Vivicus, qui absorberait toute la vie de Délodiil et transformerait ses citoyens en serviteurs morts-vivants de Mola Gbal.[32] Mérid-Nunda, au courant des plans maléfiques de Mola Gbal et d'Anumaril, avertit ses sujets de Délodiil, et un petit groupe de prêtres fut envoyé à Abagarlas pour détruire l'arme. En atteignant Abagarlas, les prêtres tracèrent un chemin de sang à travers la cité, passant au fil de l'épée la femme d'Anumaril, la reine Palolel, et son fils, le prince Malyon. Le prêtres atteignirent rapidement le Mortuum Vivicus à temps pour empêcher son activation. Cependant, Mola Gbal emmena l'engin dans Havreglace avant qu'il ne soit complètement détruit. Après que les prêtres aient fui la cité, poursuivis par des morts-vivants, Mérid-Nunda anéantit Abagarlas à coups de foudre divine.[33]
Sang-Rendu-Plaisir
Pour les Ayléides, Sanghin était connu en tant que "Sang-Rendu-Plaisir".[90] Ceux faisant partie des royaumes vénérant les Princes daedriques les plus maléfiques se laissaient souvent tenter par les plaisirs de l'art-torture, comme la "sculpture sur chair" et les "jardins de boyaux".[13] Un ancien manuscrit ayléide d'Eldhaal l'inducteur le décrit tandis qu'il est guidé par Sang-Rendu-Plaisir dans ces arts, particulièrement dans la création de la "Bête Messagère Rédemptée".[90]
Autres
Une divinité dont le nom est perdu à l'Histoire, un dieu-insecte, était vénéré par le Roi Fleuri Nilichi. Les Hommes-de-Ge nédiques furent éventuellement "détruits" quand le Roi Fleuri offrit un grand sacrifice à ce dieu oublié.[29]
Une diaspora ayléide reçut la permission de s'installer en Val-Boisé à condition d'adopter des décrets du Pacte vert. Sans autre option, les Ayléides acceptèrent et ne firent pas de mal à la forêt, ce qui a probablement contribué à la dissolution de leur culture et à leur éventuelle intégration avec les Bosmer locaux.[34]
Galerie
Notes
- Les Revivalistes ayléides seraient une société secrète souhaitant la renaissance des Ayléides.[91][11]
- La raison pour laquelle les Ayléides furent initialement considérés comme des "Elfes sauvages" non civilisés est qu'ils devaient à l'origine servir d'ennemis dans Daggerfall qui ne seraient pas hostiles aux personnages joueurs fluents en langue elfique, avant qu'ils ne soient retirés du jeu.[92]
Voir également
- Noms ayléides
- Ayléidoon
- Pour une liste d'Ayléides notables, veuillez consulter cette page.
- Pour des information spécifiques aux jeux, veuillez consulter les articles d'Oblivion, d'ESO, de Legends, et de Blades.
- Pour une liste de ruines ayléides ayant fait une apparition dans les différents jeux, veuillez consulter l'article de lore, ou les articles spécifiques aux jeux d'Oblivion et d'ESO.
Livres
- L'Adabal-a
- L'adoration des Daedra : les Ayléides
- L'Amulette des rois
- L'Anuade paraphrasée (décrite par certaines sources comme le mythe de la création ayléide)[81]
- Bisnensel : nos anciennes racines
- Bravil : fille Niben
- Le dernier roi des Ayléides
- Les Elfes Sauvages
- Exégèse de Mérid-Nunda
- Le flétrissement de Délodiil
- Gloire et pleurs dans les ruines ayléides
- Guide de poche de l'Empire, Troisième édition
- Histoires de survie d'Ayléides dans le Val-boisé
- Larmes d'Anurraame
- La magie venue du ciel
- Le récit de la princesse Anurraame
- Seigneur d'ivoire : un héros est né
- Shezarr et les Divins
- Telquelië, historienne ayléide
- Traité des cités ayléides
- Une vie d'épreuves et de lutte
Références
- ↑ 1,0, 1,1, 1,2, 1,3 et 1,4 Inscriptions ayléides traduites
- ↑ 2,0, 2,1 et 2,2 L'Amulette des rois
- ↑ L'Onus des Oghma
- ↑ 4,0, 4,1, 4,2, 4,3 et 4,4 Les Elfes Sauvages
- ↑ 5,0, 5,1, 5,2, 5,3, 5,4 et 5,5 Le dernier roi des Ayléides
- ↑ 6,0 et 6,1 2920, Dernière année de l'Ère Première, Volume 5 : Plantaisons
- ↑ Apparence de Reine Palolel, de Myndhal, et d'autres Ayléides
- ↑ La Croix évanescente
- ↑ 9,0, 9,1 et 9,2 Le chant de Pélinal
- ↑ Journaux du boucher, volume 2
- ↑ 11,0, 11,1, 11,2, 11,3 et 11,4 Dialogue d'Umbacano dans Oblivion
- ↑ 12,0 et 12,1 Nom, apparence et entrée au codex du Fanal de la Tour Zéro dans ESO
- ↑ 13,00, 13,01, 13,02, 13,03, 13,04, 13,05, 13,06, 13,07, 13,08, 13,09, 13,10, 13,11 et 13,12 L'adoration des Daedra : les Ayléides
- ↑ 14,0, 14,1 et 14,2 Avant l'âge de l'Homme
- ↑ 15,0 et 15,1 Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Cyrodiil
- ↑ Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Archipel
- ↑ Écran de chargement d'Enduum dans ESO
- ↑ Emplacements des ruines ayléides dans ESO
- ↑ Dialogue de Zahra dans ESO
- ↑ 20,0 et 20,1 Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Argonie
- ↑ Écran de chargement de Loriasel dans ESO
- ↑ Père du Niben
- ↑ 23,0 et 23,1 Dialogue de Decentius Opsius dans Oblivion
- ↑ La vie des Saints
- ↑ 25,0, 25,1, 25,2, 25,3 et 25,4 Événements d'Oblivion
- ↑ 26,0, 26,1 et 26,2 Traité des cités ayléides, Chapitre dixième : Varsa Baalim et le Nefarivigum, l'épreuve de Dagon
- ↑ Les chroniques des saints frères de Marukh, tome IV - La Purification du sanctuaire
- ↑ 28,0 et 28,1 Shezarr et les Divins
- ↑ 29,0, 29,1, 29,2, 29,3 et 29,4 L'Adabal-a
- ↑ Dialogue du Garde-tempête Cirnean dans ESO
- ↑ 31,0, 31,1, 31,2 et 31,3 Le flétrissement de Délodiil
- ↑ 32,0 et 32,1 Journal de Curano
- ↑ 33,0 et 33,1 Journal de Lanath
- ↑ 34,0 et 34,1 Histoires de survie d'Ayléides dans le Val-boisé
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Le chancelier Abnur Tharn répond à vos questions
- ↑ 36,0 et 36,1 Dialogue de Telarendil dans Blades
- ↑ La murale dans la tombe de Valentis durant la quête A Tale of Two Brothers dans Blades
- ↑ Description de la décoration Statue du fondateur dans Blades
- ↑ Dialogue de Parlesève Kuzei dans ESO: Murkmire
- ↑ Quête La mort et les rêves dans ESO: Murkmire
- ↑ 41,0 et 41,1 Quête Le Vestige d'Argon dans ESO: Murkmire
- ↑ 42,0 et 42,1 Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Toutes les ères humaines
- ↑ 43,0 et 43,1 Dialogue d'Herminia Cinna dans Oblivion
- ↑ 44,0 et 44,1 Frontière, conquête, peuplement
- ↑ Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Bordeciel
- ↑ 46,0 et 46,1 Journal couvert de givre
- ↑ 47,0 et 47,1 En quête de Mhuvnak
- ↑ 48,0, 48,1 et 48,2 TESO:Présentation d'un personnage/Narilmor
- ↑ 49,0 et 49,1 Bravil : fille Niben
- ↑ Guide de poche de l'Empire, Troisième édition/Val-boisé
- ↑ Écran de chargement du Sanctuaire de Thukhozod dans ESO: Wrothgar
- ↑ De Rerum Dirennis — Vorian Direnni
- ↑ Rislav le juste
- ↑ 54,0, 54,1, 54,2, 54,3, 54,4 et 54,5 Une vie d'épreuves et de lutte
- ↑ Description de la monture Senche ayléide de Nenalata dans ESO
- ↑ 56,0, 56,1 et 56,2 Bisnensel : nos anciennes racines
- ↑ 57,0 et 57,1 Événements d'ESO
- ↑ Dialogue de l'Intendant dans ESO
- ↑ Quête Observance de la Vieille vie dans ESO
- ↑ Dialogue de Petronius Galenus dans ESO
- ↑ Quête Essence de feu dans ESO
- ↑ Dialogue de Tharayya dans ESO: Wrathstone
- ↑ Affrontez les serviteurs de Méridia dans les Profondeurs de Malatar sur le site web officiel d'ESO
- ↑ Dialogue de Roi Narilmor dans ESO: Wrathstone
- ↑ Quête Le guide lumineux dans ESO: Wrathstone
- ↑ Correspondance des Sœurs Vélothril dans ESO
- ↑ Correspondance de Valyne Hlan dans ESO
- ↑ Correspondance de Sixul le Méthodique dans ESO
- ↑ Quête Les secrets des Ayléides dans Oblivion
- ↑ Quête Colère du Roi-sorcier dans Blades
- ↑ 71,0 et 71,1 Énigme aurbique 4 : le Breuillaisné
- ↑ 72,0 et 72,1 Gloire et pleurs dans les ruines ayléides
- ↑ 73,0 et 73,1 La magie venue du ciel
- ↑ Notes de recherche de Lithnilian
- ↑ Quête Le bosquet submergé dans ESO
- ↑ Description du diadème de pierres de Varla barsaebique dans ESO
- ↑ Le déclin d'Ahzidal
- ↑ Journal de Gelebourne
- ↑ Guide de la Cité impériale
- ↑ Aedras et Daedras
- ↑ 81,0, 81,1 et 81,2 Le monomythe
- ↑ Dialogue de Héraut Kixathi dans ESO
- ↑ Larmes d'Anurraame
- ↑ Page déchirée et jetée
- ↑ Exégèse de Mérid-Nunda
- ↑ Entrée du codex d'antiquités de la Statuette ayléide dans ESO: Greymoor
- ↑ TESO:Archives du maître du savoir/Artorius Ponticus répond à vos questions
- ↑ Écrans de chargement des Halls de la soumission dans ESO
- ↑ Le temple impie
- ↑ 90,0 et 90,1 Chef-d'œuvre de l'inducteur
- ↑ Dialogue de Glarthir dans Oblivion
- ↑ Capacité Elfique dans Daggerfall